Quand on parle de Napoléon, on fait toujours référence au prince de guerre. Toutefois, derrière cette vision de chef de guerre, se cache un grand amateur de l’art. Durant son règne, Napoléon s’est lancé sur de vastes projets pour redynamiser la politique culturelle. Etant un grand amateur de culture, il va poser de nombreux actes afin de développer la culture pendant son règne. Mais beaucoup se sont soldés par des échecs. Avec François-Régis Tézé, découvrir la passion de Napoléon pour les arts et la culture.
Napoléon, un amateur du monde artistique
Sa passion pour la littérature l’a poussé à publier un dialogue : Le Souper de Beaucaire mais aussi des opuscules académiques. Il fut un grand admirateur de l’opéra buffa et de la musique italienne. Grand chef de guerre, il utilisait de grandes symphonies à thème pour accompagner ses actions militaires. Durant cette période aussi, l’art de la peinture renaît et écrit ses plus pages d’histoires. On y note une ascension fulgurante de l’art décoratif.
Celui-ci occupait une grande place dans la décoration des demeures impériales Autre domaine dans lequel il accordait une grande attention, la décoration de la capitale. Il y construit des merveilles et embellissent les rue de manière remarquable. A titre d’exemple on peut citer les Champs Elysées ou encore la place de la Concorde (Régis Tézé).
Les limites de la politique culturelle napoléonienne
La culture étrangère était réduite au silence. Les censures se faisaient de plus en plus nombreuses. La musique italienne qu’il adorait aussi bien n’arrive pas à s’imposer. On note aussi une grande réduction du nombre de salle de spectacle. Le règne de Napoléon est marqué aussi par des de nombreux divergences avec certains écrivains. L’ingérence de ces derniers dans le monde politique n’était pas tolérée par l’empereur et leur indépendance rebelle était souvent source de discorde.